Nicola L., artiste française (avec un A majuscule), aux multiples talents.
Installée aux états-unis depuis les années 1970.
Elle peint, réalise des films, des documentaires, des happenings militants,
des performances comme "les grands décapités de l'histoire",
où des acteurs ont la tête posée sur une table de banquet durant des heures.
Elle crée du "mobilier fonctionnel ou objet d'art surréaliste", que les galeristes s'arrachent
comme la femme-planche à repasser ou le tapis à l'homme désarticulé… la liste est longue.
Nicola L. n'a pas de limite et déclare : "mon travail est un jeu".
Installée aux états-unis depuis les années 1970.
Elle peint, réalise des films, des documentaires, des happenings militants,
des performances comme "les grands décapités de l'histoire",
où des acteurs ont la tête posée sur une table de banquet durant des heures.
Elle crée du "mobilier fonctionnel ou objet d'art surréaliste", que les galeristes s'arrachent
comme la femme-planche à repasser ou le tapis à l'homme désarticulé… la liste est longue.
Nicola L. n'a pas de limite et déclare : "mon travail est un jeu".
Derrière ce prénom masculin se cache en réalité une femme,
une femme qui s'amuse et qui symbolise la liberté d'expression.
Sa réflexion porte essentiellement sur la fascination
du corps humain et plus particulièrement sur le regard,
ici une lampe-oeil, objet emblématique de son travail, ainsi qu'un "Giant man sofa".
une femme qui s'amuse et qui symbolise la liberté d'expression.
Sa réflexion porte essentiellement sur la fascination
du corps humain et plus particulièrement sur le regard,
ici une lampe-oeil, objet emblématique de son travail, ainsi qu'un "Giant man sofa".
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